YOUR DRIVER BRETAGNE - VTC

VTC Quimper

Une enquête réalisée par ADEME sur le VTC à Quimper et en France

 

 

Des données nouvelles sur les usagers, usages et impacts des VTC à Quimper et en France 

 

Les voitures de transport avec chauffeur (VTC) sont des services de transport de personnes avec la réservation obligatoire. La prise de commande peut être effectuée soit de manière directe auprès du chauffeur de VTC (par exemple par téléphone) soit par l’intermédiaire d’un opérateur ou d’une plateforme. Les voitures utilisées pour ce type de transport sont réglementées selon l’arrêté du 26 mars 2015. Elles doivent répondre à un certain nombre d’exigences, notamment en termes de puissance du moteur et de gabarit. A l'inverse des taxis, les VTC à Quimper et en France ne peuvent pas faire la « maraude », c’est-à-dire prendre en charge un individu qui les demandent dans la rue.

 

Depuis leur implantation en France à partir de 2010, les services de VTC font régulièrement l’objet d’une attention médiatique et politique intense, en raison de questions sur leur légalité, ainsi que sur le caractère loyal ou non de la concurrence qu’ils font aux taxis.

 

Ces questions très médiatisées tendent à masquer leur fonction au sens le plus strict, qui est d’offrir une nouvelle offre de transport. Paradoxalement, peu de données publiques existent sur la contribution des services de VTC aux systèmes de mobilité urbaine dans lesquels ils viennent s’insérer.

 

Cette étude a donc pour mission de produire des connaissances relatives aux usagers, usages et impacts des services de VTC en France et à Quimper et permettra de faciliter les décisions de la puissance publique quant à l’adoption d’éventuelles régulations dans le secteur.

 

L’étude se compose d’un état de l’art, à partir d'une analyse de la littérature scientifique et technique, de l’analyse d’un groupe de discussion avec des chauffeurs et de l’analyse d’une enquête par sondage menée entre décembre 2015 et mars 2016.

 

Cette synthèse s'oriente plus particulièrement sur les principaux résultats de l’enquête auprès des usagers des services de VTC 

 

-qui sont-ils ?

-quelles sont les caractéristiques de leurs déplacements ?

-quels sont les changement des services de VTC à Quimper et en France sur la mobilité de leurs usagers et sur l’environnement ?

 

 

Méthodologie d’enquête 

 

Une enquête a été relayée auprès d’une partie des usagers de trois services de VTC : Snapcar, Uber et Allocab. La forme de l’enquête était un questionnaire internet auto-administré.

 

La période de passation s’est étendue du 10 décembre 2015 au 22 mars 2016. Les trois opérateurs qui ont diffusé le questionnaire ne l’ont donné qu’à des personnes ayant utilisé leur service de transport au moins une fois dans les douze mois précédant le sondage.

 

Au total, 6 626 répondants ont complété le questionnaire. L’ensemble des questions posées et l’analyse des réponses sont disponibles dans le rapport d’étude complet.

 

De temps en temps, les données obtenues via l’enquête sont mises en regard avec des données concernant les usagers du taxi. Ces données proviennent d’une enquête par sondage réalisée en 2015 auprès de 990 usagers du taxi en France.

 

 

Les utilisateurs des VTC à Quimper et en France : profil et motivations

 

Un profil socio-économique élevé.

 

Les usagers présentent une très forte surreprésentation des personnes liées à la catégorie socioprofessionnelle des « cadres et professions intellectuelles supérieures ». Parmi les usagers des services de VTC intégrant partie de la population active, 64 % appartiennent à cette catégorie, contre 15 % des français actifs. De plus, 13 % sont des chefs d’entreprise.

 

En comparaison des citoyens de Paris intra-muros, les usagers des services de VTC à Quimper et en France présentent également un profil socioéconomique au dessus de la moyenne : on compte deux fois plus de cadres et « professions intellectuelles supérieures » parmi eux que parmi les parisiens.

 

Les utilisateurs se distinguent également par un niveau de diplôme beaucoup plus élevé que la moyenne française : 73 % d’entre eux ont un diplôme de niveau bac+3 ou supérieur, alors que ce n’est le cas que pour 14 % de la population des plus de 15 ans (44% à Paris). 42 % des usagers des VTC ont un diplôme de niveau bac +5 (master) et 17 % sont titulaires d’un diplôme de niveau supérieur à bac +5 (master spécialisé ou doctorat).

 

 

Un service qui est avant tout francilien et commence à s'installer dans les métropoles de province 

 

En corrélation avec la localisation des services de VTC à Quimper et en France, les usagers habitent quasiment tous dans les grandes métropoles françaises : 76 % d’entre eux résident dans l’aire urbaine de Paris et 15 % résident dans une aire urbaine de plus de 500 000 habitants.

Les usagers ont plutôt tendance à habiter dans la ville-centre de leur aire urbaine : c’est le cas pour 58 % d’entre eux.

 

 

Un service principalement utilisé à titre privé 

 

50 % des usagers utilisent les services de VTC à titre privé uniquement, 46 % les utilisent à titre privé et professionnel, 4 % seulement les utilisent uniquement à titre professionnel.

 

 

Faire le choix d'un service de VTC à Quimper et en France, le prix n’explique pas tout 

 

Au moment de faire leur choix des VTC par préférence à un autre moyen de transport, les usagers mentionnent dans près de 60 % des cas le côté « plus pratique » : 40 % par rapport au taxi, 12 % par rapport aux transports en commun et 5 % par rapport à la voiture personnelle.

L’aspect économique apparaît en deuxième position, dans 30 % des cas.

 

Les avantages d’un service de VTC que les usagers jugent les plus importantes sont le prix, mais aussi, à un degré d’importance quasiment équivalent, les moyens de paiement acceptés (prélèvement, carte bancaire, etc.), le temps entre la réservation et l’arrivée du véhicule, la qualité de la prestation (amabilité du chauffeur, bouteille d’eau à bord, etc.) ainsi que l’existence d’une application smartphone. On notera qu’ici le prix apparaît comme le critère unitaire le plus important mais que le côté « pratique » est en fait constitué des 4 critères classés.

 

Le confort des véhicules, qui fait pourtant partie de la réglementation sur les VTC à Quimper et en France (les voitures doivent faire au minimum 4,5 m et avoir une puissance d’au moins 115 chevaux), est de fait jugé peu important par les usagers.

 

 

Un service principalement utilisé pour des trajets de proximité, avec une augmentation des trajets la nuit et pour les sorties 

 

Il s’agit d’un service de transport utilisé avant tout pour des déplacements de proximité : 76 % des déplacements ont lieu dans l’agglomération de résidence des répondants à l'enquête.

 

La raison principale concerne les sorties (35 % des déplacements) suivi par les trajets avec les gares et les aéroports (20 %).

 

La nuit représente une part importante des déplacements en VTC : 60 % des trajets sont réalisés entre 20h et 8h (contre 41 % des trajets en taxi).

 

59 % des déplacements en VTC sont internes à la ville-centre d’une agglomération. 34 % relient la ville-centre et sa périphérie et 7 % relient deux points de la périphérie.

 

En termes de durée, de distance parcourue et de coût, les déplacements réalisés en VTC à Quimper et en France ne sont pas très différents des déplacements réalisés en taxi dans les grandes agglomérations françaises. Les déplacements en VTC ont :

-une durée moyenne de 21 minutes, contre 22 minutes pour le taxi,

-une distance moyenne de 9 km, contre 10 km pour le taxi,

-un coût moyen de 20 EUR, contre 22 EUR pour le taxi.

 

Le taux d’occupation moyen d’un VTC est de 1,7 passager, comme pour un taxi.

 

 

Les conséquences des VTC à Quimper et en France sur la mobilité et l’environnement 

 

Une baisse de l’équipement en véhicules motorisés et de l’usage de la voiture personnelle.

 

Les usagers ont été invités à renseigner le nombre de voitures :

 

-qu’ils possédaient avant d’utiliser les services de VTC.

-qu’ils possédaient au moment du sondage.

 

 

Il en ressort que l’équipement en voiture des usagers diminue de 5 % depuis leur adoption des services de VTC.

 

En outre, les usagers dont le nombre de voitures possédées a diminué ont été invité à dire si cette diminution était principalement due à leur utilisation des VTC à Quimper et en France ou à d’autres raisons (déménagement, évolution de la composition du foyer, changement de travail, ...). En affinant de cette manière le calcul, la diminution du parc automobile que les usagers attribuent directement à l’influence des VTC est de 3 %.

 

Le solde entre les voitures particulières supprimées grâce aux services de VTC et le nombre de VTC en circulation laisse apparaître qu’entre 21 000 et 30 000 voitures auraient déjà été supprimées de la circulation en France grâce aux services de VTC. A titre de comparaison le parc automobile français est constitué de près 32 millions de voitures particulières.

 

De plus, 6 % des usagers mentionnent avoir évité l’achat d’un véhicule grâce aux services de VTC. En ajoutant ce résultat à la population calculée d’usagers des services de VTC en France, estimée à 1,5 million de personnes, les services de VTC à Quimper et en France pourraient avoir évité l’achat de 93 000 voitures.

 

On constate également que les services de VTC permettent à une partie de leurs usagers de se séparer d’un deux-roues motorisé (pour 1 % d’entre eux) ou à renoncer à l’achat d’un deux-roues motorisé (pour 4 % d’entre eux).

 

 

Les VTC à Quimper et en France n'augmentent pas le trafic automobile 

 

Les utilisateurs ont été invités à indiquer le nombre de km qu’ils parcouraient avant et après leur adoption des services de VTC. Le nombre de kilomètres réalisés en voiture, personnelle et partagée sous ses différentes formes (VTC compris), diminue de 6 % consécutivement à l’adoption des VTC.

 

La baisse des km effectués en voiture est moins élevée pour les 56 % d’usagers qui attribuent prioritairement leurs changements de pratiques de déplacement aux services de VTC que pour les 44 % d’usagers qui attribuent principalement ces changements à d’autres facteurs (respectivement 5 % et 8 % de kilomètres parcourus en moins). La diminution du nombre de km parcourus en voiture attribuable aux VTC est de 2,6 %.

 

Si l’utilisation des services de VTC à Quimper et en France accompagne la diminution de l’équipement automobile et des distances parcourues en voiture, ils n’en sont donc pas toujours le facteur déclenchant.

 

 

Les VTC à Quimper et en France sont en concurrence avec le taxi amis aussi avec les transports en commun 

 

L’usage des services de VTC est aussi corrélé à une diminution de la fréquence d’usage des modes alternatifs à la voiture personnelle. Le moyen de transport dont la fréquence d’usage diminue le plus depuis l’adoption des VTC est le taxi : avant d’utiliser les VTC, les usagers utilisaient le taxi 2,2 jours par mois en moyenne ; aujourd’hui, ils l’utilisent 0,5 jour par mois. En moyenne, les usagers prennent les transports en commun un jour de moins chaque mois, mais ils continuent de les prendre 13,5 jours par mois. Les VTC prennent donc une plus grande part de marché au taxi qu’aux transports en commun.

 

Le seul mode de déplacement dont la fréquence d’usage augmente (légèrement) consécutivement à l’adoption des VTC à Quimper et en France est la marche pour des déplacements complets (sans combinaison avec un autre mode sur le trajet) : les usagers l’utilisent en moyenne 0,4 jour de plus par mois.

 

On pourrait être tenté d’additionner le nombre de jours d’utilisation de la voiture (personnelle et partagée) et ainsi conclure à l’augmentation de son usage depuis l’adoption des VTC à Quimper et en France. Cela pourrait paraître en contradiction avec le constat précédent d’une diminution du nombre total de km effectués en voiture. Cependant, les 2 éléments d’explication suivants peuvent être avancés :

 

- Les jours d'utilisation des différents modes ne traduisent pas un nombre de trajets et leur addition n’est pas forcément pertinente. En effet, un même mode peut être utilisé pour un nombre variable de trajets au cours d'une même journée (aller simple, aller-retour, boucle combinant plusieurs motifs de déplacements,…). Autrement dit un jour d’utilisation d’un mode peut correspondre à un ou plusieurs trajets différents.

 

Il est possible que le nombre de trajets effectués en voiture augmente sans que le nombre total de km parcourus n’augmente. Dans ce cas précis il est tout à fait possible que les services de VTC de Quimper ou en France génèrent de nombreux trajets de courte distance (loisirs, sorties,…) et suppriment des trajets en voiture personnelle dont le nombre était certes réduit, mais qui avaient une distance beaucoup plus importante. Les résultats peuvent laisser supposer que les utilisateurs qui se sont séparés d’une voiture réduisent leurs déplacements de moyenne et longue distance, plutôt en dehors de leur agglomération de résidence, ce qui vient compenser une augmentation des déplacements locaux pour l’ensemble des utilisateurs.

 

 

Ils créent également de la mobilité et ont un impact positif sur l’activité économique locale 

 

En outre, les services de VTC à Quimper et en France peuvent créer de la mobilité et permettre à leurs usagers de réaliser des activités qu’ils n’auraient pas pu faire sans la possibilité de se déplacer en VTC. Un tiers des usagers considèrent que, de manière générale, depuis qu’ils utilisent les services de VTC, ils réalisent des déplacements qu’ils ne réalisaient pas auparavant. A propos de leur dernier déplacement en VTC, 9 % des usagers déclarent qu’ils n’auraient pas du tout pu faire l’activité pour laquelle ils se sont déplacés s’ils n’avaient pas pu utiliser les VTC, et ce même en la décalant dans le temps.

 

Les trajets qui n’auraient pas pu être réalisés sont avant tout des déplacements de nuit, liés à des sorties. Selon les usagers, 12 % des déplacements réalisés entre 2h et 6h du matin n’auraient pas pu être réalisés avec un autre mode que les VTC, contre seulement 7 % des trajets réalisés entre 8h et 20h ; 11 % des trajets pour des sorties n’auraient pas pu être réalisés autrement qu’en VTC, contre seulement 5 % des déplacements vers ou depuis les gares et aéroports.

 

En permettant cette mobilité nocturne liée aux sorties, les VTC à Quimper et en France ont très vraisemblablement un impact positif sur l’activité économique, en particulier en centre-ville.

Présentation et Covid-19

 

Bienvenue sur le site internet de votre chauffeur privé à Lorient, copié et cassé, mais pas égalé, le premier vrai conducteur de personnes installé dans le Morbihan, plus de 5000 clients transportés sur des petits ou longs parcours avec toujours un véhicule propre, car il est nettoyé et désinfecté avant chaque trajet.

Masque obligatoire à l'intérieur du véhicule, possibilité d'en donner.

Gel hydroalcoolique à disposition pour la clientèle.

+33 (0) 688 77 34 88

Véhicule lavé avec des produits biodégradables et non-nocifs pour la clientèle et désinfectés.

Véhicule Hybride qui se recharge tout seul, jusqu'à 5 passagers peuvent monter à l'arrière du véhicule pour une même famille ou des personnes handicapés, d'après le dernier décret sur les obligations pour les Entreprises de chauffeurs de taxis et VTC pour protéger les clients du Covid-19, et seulement si le véhicule est équipé d'une vitre de séparation entre le conducteur et les clients installés à l'arrière, et c'est le cas ici avec une vitre en polycarbonate qui est plus résistante aux chocs qu'une vitre en plexiglas.

 

Le saviez-vous ?

 

La licence des taxis est depuis 2014 gratuite pour les nouvelles sociétés et pour ceux qui ont acheté une licence, après 2014, ils ne peuvent plus la vendre.

De plus, les taxis ont un remboursement sur l'essence qui leur permet avec un véhicule hybrid de ne presque plus avoir à payer de l'essence pour faire rouler leur véhicule.

Il peuvent ne pas payer la CFE en fin d'année.

Pourtant, ils se plaignent de la concurrence des VTC, alors que nous n'avons pas d'aides comme eux, nous n'aimons pas non plus UBER.

Les taxis n'aiment pas les VTC avec des manifestations anti-VTC de temps en temps, pourtant de plus en plus de taxis ont un service VTC, comme à Guidel avec leur siège qui n'est pas en Bretagne !

Les taxis ne sont pas obligés d'avoir un véhicule de moins de 6 ans et qui doit faire plus de 4,50 m de long, et 1,70 m de large et plus de 115 ch comme nous !

Maintenant, il faut attendre 3 ans pour transporter des malades-assis pour une nouvelle entreprise de taxi, au lieu de deux, l'entreprise à le temps de fermer, car les deux tiers des taxis vivent grâce à cela, du coup, les grosses entreprises peuvent continuer à s'en mettre plein les poches (moyenne de 100 euros par course) et garder ce monopôle, c'est donc la bataille même entre les taxis.

Les taxis ont demandé à la sécurité sociale, en plein confinement pour éviter une manifestation, d'obtenir l'exclusivité du transport des malades assis, avec les ambulances bien sûr. Alors que les taxis n'ont qu'un dîplome de secouriste comme les VTC.

Examen et formation taxi = examen et formation VTC.

Code naf taxi = code naf VTC = 4932z

 

Interdiction également de mettre un passager à l'avant pendant la covid.

Pas de vitre anti-postillons = un à deux passagers maximum par rangée de sièges.

Donc, n'écoutez pas ceux qui disent que sans la vitre il est possible de transporter autant de passagers qu'ils veulent !

 

Ici, pas de faux avis pour faire monter les notes (il est possible d'acheter des avis ou de se mettre des avis facilement) et pas non plus de fausses annonces de partenariats pour attirer également le client !

 

Pas de tarifs à 4 euros le kilomètre pour arnaquer les clients et pas non plus de tarifs à 1 euros le kilomètre qui détruit le secteur du transport de personnes par une concurrence déloyale et éphémère dont souvent le patron, dans les deux cas, touche déjà une retraite de militaire ou autre, donc ils ne sont pas dans le besoin, mais c'est juste pour passer leur temps, sans penser à ceux qui vivent de leur travail.

 

Pas de licence frauduleuse à acheter pour devenir VTC pour ensuite la revendre à un prix encore plus élevé, comme les taxis l'ont mis en place eux-même pour une belle deuxième retraite, car, souvent, ils sont déjà retraités, de plus les taxis ont le droit de transporter des malades assis qui leur assurent un revenu important et régulier et qui supprime l'excuse de la licence pour justifier les hauts tarifs pour les particuliers et les professionnels. Avant il fallait le Bac pour être chauffeur de VTC (VTC à modifié le terme chauffeur de grande ou petite remise) et pas pour le chauffeur de taxi, c'était un service au dessus de celui des taxis. Tout à été modifié par le Président de la république quand il était ministre sous Hollande et maintenant la concurrence est très rude.